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Lettre N°33 - Juillet 2019

  • Photo du rédacteur: Francis Delobel
    Francis Delobel
  • 16 févr. 2020
  • 5 min de lecture


choisit la Bourse, nouveau record de hausse.

C'est l'obsession de Trump. La performance du S&P et du Dow Jones est pour lui le signe de la vitalité de l'économie américaine, le signe de l'enrichissement des ménages américains, le facteur d'enrichissement spectaculaire des Américains les plus riches et donc un facteur essentiel et positif pour sa réélection. Trump devait choisir entre une stratégie à moyen et long terme d'affrontement avec la Chine, l'Iran et la Bourse. Il a choisi la Bourse. Et pour soutenir la Bourse, il faut plusieurs facteurs:

- des taux d'intérêt en baisse: c'est l'objet de la pression permanente qu'il met sur la Banque centrale américaine, avec succès, puisque la FED a arrêté de monter ses taux et va les baisser, - des entreprises libres et en bonne santé, donc profitables: c'est le but de sa réforme fiscale et de la déréglementation, - des investisseurs confiants. Le recul au G20 : Il a tout fait pour que le G20 rassure la Bourse et les investisseurs: - il accepte de reprendre les négociations avec la Chine et de ne pas remonter les droits de douane et il donne de l'air à Huawei - il temporise avec l'Iran en demandant à Poutine de jouer les intermédiaires - il va mettre un pied en Corée du Nord, c’est une première pour un président en exercice de plus il invite le dictateur nord- coréen, à venir à la Maison-Blanche. La Bourse américaine a affiché un nouveau record. Et elle affiche un semestre spectaculaire. Du jamais vu depuis 22 ans. Une hausse de 17% pour le S&P. Une hausse de 15.6% pour les indices mondiaux.


Les marchés Européens et Paris suivent.


Depuis le 1er janvier, l'indice regroupant les quarante plus grandes capitalisations boursières françaises a bondi de 17,09%. Il s'agit de sa meilleure performance semestrielle depuis dix ans. La hausse devrait continuer dans les jours qui viennent tant Trump met de l'énergie à alimenter la hausse.


L’immobilier, toujours en hausse.

3% de hausse au premier semestre à Paris. 1% sur l'ensemble de la France. Grâce à la baisse des taux, grâce à l'assouplissement des attributions de crédit et grâce aux banques centrales les prix augmentent. La fièvre immobilière ne retombe pas. Mais la principale information du premier semestre 2019 en la matière, n'est ni que les prix continuent àaugmenter à un rythme soutenu, ni que les transactions atteignent des niveaux records. Avec des taux d'intérêt à des plus bas historiques et toujours orientés à la baisse, la poursuite de cette double tendance est inévitable, tant il est vrai que l'acquisition d'un logement nécessite le plus souvent le recours à une lourde dette. Non, l'information principale des six derniers mois, c'est que la frénésie immobilière ne concerne plus seulement Paris et les grandes métropoles de l'Hexagone. Elle gagne aussi désormais la périphérie des grandes villes et les campagnes. Après des années de calme relatif, les prix commencent aussi à s'y apprécier.

Le phénomène est nouveau. Il résulte d'un effet de contagion assez logique. Quand les prix progressent régulièrement, comme c'est le cas depuis dix ans dans les principales agglomérations du pays, un nombre croissant de ménages ne peut plus espérer devenir propriétaires en centre-ville. Ils sont contraints de se tourner vers la banlieue pour acheter un logement. Ce qui a pour effet de faire flamber le mètre carré dans les villes de banlieues et donc de repousser encore plus loin certains des habitants historiques de ces zones. Ses conséquences sur le tissu urbain sont redoutables. Elles en accélèrent l'étalement. Tous les dix ans, nous transformons déjà l'équivalent d'un département de terres agricoles ou de forêts en surface urbaine supplémentaire. Une évolution dont on commence à mesurer l'impact négatif en termes économique, social, environnemental et plus largement écologique.


Redressement fiscal : quelles sanctions si les revenus sont mal déclarés ?


Les sanctions peuvent être lourdes si de mauvaises informations figurent sur la déclaration de revenus d’un contribuable. La majoration peut aller jusqu’à 100% si ce dernier refuse de se soumettre à un contrôle fiscal. Tout dépendra bien sûr de la nature de l’erreur : fortuite ou intentionnelle. Dans le premier cas, le Fisc peut réclamer 0,2% d’intérêt par mois de retard sur le montant non réglé. Les sanctions financières pourront aller d’une majoration de 10% si aucune mise en demeure n’a encore été envoyée, à 40% au-delà des trente jours suivant la mise en demeure. Toutefois, ces sanctions pourront être allégées si la bonne foi est prouvée.Dans le second cas, des intérêts de retard et une majoration pourront également être appliqués. Celle-ci pourra aller de 40% en cas “d’oubli volontaire”, et jusqu’à 80% en cas d’abus de droit, c’est-à-dire d’optimisation abusive d’une règle fiscale. Des poursuites pénales peuvent aussi être engagées, avec des peines allant jusqu’à 3 millions d’euros d’amende et sept ans de prison.

(Source Boursorama)


Christine Lagarde nommée à la tête de la BCE.


La directrice générale du fonds monétaire international (FMI), 63 ans, s'est dite "très honorée" d'avoir été choisie par les chefs d'Etat européens pour prendre la relève de Mario Draghi à la tête de la Banque Central Européenne


Guerre commerciale : après la Chine, Trump se tourne vers l’Europe.


Lundi, Washington a annoncé le lancement de consultations visant à imposer à l'Union européenne de nouvelles taxes. Parmi les produits visés se trouvent notamment des variétés de fromage, des whiskies irlandais et certains produits à base de porc.


Les fonds ISR, c’est quoi ?


L'Investissement Socialement Responsable (ISR) consiste à investir dans des fonds d’investissement qui prennent en compte, en plus des critères financiers classiques, le comportement de l’entreprise dans le domaine social et environnemental. L’investissement socialement responsable correspond à trois approches principales :les fonds socialement responsables ou de développement durable : ils intègrent des critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) d’évaluation d’une entreprise cotée (environnement, questions sociales, éthiques, gouvernance dans les décisions de placements...) qui sont croisés avec des critères financiers pour sélectionner dans un portefeuille les entreprises les plus performantes d’un point de vue développement durable,les fonds d’exclusion (également dénommés « placements éthiques ») : plus répandus dans les pays anglo- saxons, ils excluent, pour des raisons morales ou religieuses, certains secteurs comme l’armement, le jeu, le tabac... voire des activités considérées par leurs détenteurs comme dangereuses pour l’environnement : OGM, nucléaire...,l’engagement actionnarial ou activisme actionnarial : il consiste, pour les investisseurs, à exiger des entreprises une politique de responsabilité sociale plus forte, soit en les interpellant directement, soit par l’exercice des droits de vote en assemblées générales.l’engagement actionnarial ou activisme actionnarial : il consiste, pour les investisseurs, à exiger des entreprises une politique de responsabilité sociale plus forte, soit en les interpellant directement, soit par l’exercice des droits de vote en assemblées générales.L’investissement socialement responsable ne doit pas être confondu avec l’épargne solidaire qui consiste à épargner dans des activités à forte utilité sociale et environnementale mais pas nécessairement immédiatement rentables.


Bonnes Vacances !

LE 01/07/2019




 
 
 

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